L’obsolescence programmée fait référence au temps pendant lequel un produit, généralement de type technologique, électronique ou électroménager, cessera de fonctionner parce qu’il a été fabriqué intentionnellement pour avoir une durée de vie ou une durée d’utilisation spécifique. Ce n’est pas que des défauts sont survenus en raison de l’utilisation ; ces défauts qui surviennent sont connus à l’avance par le fabricant, de l’appareil ou de toute partie de celui-ci. En plus de garantir que le défaut survient après un certain temps ou un certain nombre d’utilisations, l’obsolescence programmée tient également compte du fait qu’il n’y a pas de pièces de rechange, ou que la réparation est plus coûteuse qu’un nouvel appareil. Tout cela, on prétend que nous devons renouveler de temps en temps, un temps contrôlé et programmé, presque tous les appareils que nous achetons.

L’obsolescence programmée peut inclure à la fois le support physique de l’appareil (composants, puces, systèmes mécaniques) comme le logiciel (software). De nombreux utilisateurs de smartphones ou de tablettes savent qu’il arrive un moment où l’appareil ne peut plus mettre à jour son système d’exploitation et cesse de fonctionner ou commence à tombe en panne.

L’obsolescence programmée est une procédure considérée comme contraire à l’éthique, car elle peut sembler à l’extérieur de bonne qualité malgré le fait que, déjà en usine, cette « programmation » échoue, généralement un composant irremplaçable ou réparable. D’autre part, il est également vrai que la baisse des coûts de production de certains biens et leurs bas prix de vente ont fait accepter à l’utilisateur le fait que, d’une certaine manière, ce que vous venez d’acheter a ses jours comptés. Bien que cela ne soit valable que pour les petits appareils. En fait, selon les données de 2019 de l’Eurobaromètre, environ 80% de la population européenne estime que les fabricants de technologie devraient être obligés de pouvoir réparer les appareils et de disposer de pièces de rechange.

À cela, nous devons ajouter une prise de conscience environnementale. Le fait que tant socialement que politiquement préoccupé par le réchauffement climatique et nous sommes conscients de l’effet direct de notre façon de consommer linéaire sur les émissions de gaz à effet de serre a notre façon linéaire de consommer (fabrication-consommation-jet). Cela a conduit à des initiatives visant à créer des réglementations qui traitent de l’obsolescence programmée.

Du Parlement Européenne ont été lancées de propositions pour légiférer sur l’obligation des fabricants d’avoir des pièces de rechange et que le processus de fabrication permet la réparation des appareils électroniques. Cette initiative a été appelée « Droit de réparer ». Il est proposé d’inclure une étiquette avec l’indice de réparabilité sur les appareils électroniques ; il peut Être similaire à l’étiquette énergétique.

Cette façon de produire-utiliser-réparer est plus en phase avec les nouveaux modèles d’économie circulaire basés sur la conception du produit à fabriquer qui est faite de telle manière qu’il puisse être réutilisé et que toutes ses pièces puissent Être recyclées. Il s’agit d’une procédure qui vise à réduire l’entrée (input) de matières premières dans le système de production, à réduire les coûts (énergie, eau…) et à favoriser une industrie plus durable.

Chez Eurotransis, nous remplissons les engagements avec nos clients depuis des années, en nous adaptant aux exigences, en vérifiant le processus de production et en suivant un contrôle qualité strict. Pour cette raison, unit à nos valeurs d’expérience, d’innovation… elle nous permet de nous positionner totalement contre l’obsolescence programmée.